Intimités du Comte Faël Céréwïn.

Bienvenue en se monde sombre et ténébreux.
Je me nomme Faël Céréwïn, née du Comte Vincent de Céréwïn, de mère inconnue.
J’ai cent trente cinq ans, et j’ai toujours survécu grâce au sang.
Parfois pris de leurs plein grées et parfois pris à contrecœur, vous l’aurez compris, je suis un vampire.

Oui, je suis un monstre, une créature obscure née des méandres de la nuit.
Mon père me donna la vie après que je sois décédé du Choléra, au printemps 1875.
Fort heureusement pour moi je n’avais aucune famille mes parents étant morts quelques années plutôt.

Dans ses pages je vais vous raconter ma seconde naissance jusqu’au jour ou j’ai entamée les premières lignes de ce journal.
Vous y trouverai le détail de ma vie dans les moments incandescent mais aussi les moments cruel que je redoute encore.
Avez-vous déjà éprouvé une faim si terrible qu’elle en est douloureuse ?
Avez-vous connu une soif si fulgurante que vous plongeriez dans le premier ruisseau que vous croiseriez ?
Moi oui, est sachez que c’est un sentiment si violent qu’on en oublie tout nos états d’âmes.
Plus rien n’existe appart la soif que vous éprouvez.
Nous appelons sa l’esclavagisme du sang.

Oubliez les cruels Dracula ou autres créatures issu du Nosferatu. La vie de vampire n’est pas que cruauté et horreur.
Ne brandissez pas une gousse d’ail ou un crucifix devant nous cela ne vous servira strictement à rien. Seule la lumière est votre alliée.
Je ne connais nullement le passé de mon père, et par père entendez celui qui me fit revivre si j’ose employer.
Je sais seulement qu’il était riche, que c’était un homme de bien et que malgré ce que l’on pu croire il était un être a part entière.
Il était Comte d’un domaine de plus de 400 hectares du nom de Faëlestrand. Il y avait forêts, rivières et camps de réfugiés.
Oui mon père avait accueilli de pauvres familles qu’il avait sauvé de la famine, elles pouvaient vivre de leurs culture, pouvaient se déplacer librement dans le domaine, chasser, pécher à leurs grée. Elles pouvaient même commercer avec le reste du monde. En quittance mon père ne leurs demandé qu’une seule chose, du sang frais pour lui et son jeune fils...

Extraie de "Intimités du comte" écris par Faël Céréwïn.

Waouh ! ça à l'air bien ! C'est toi qui écris ? Est-ce que tu as un blog où tu en met plus ?
ça m'intéresse

Oui c'est moi qui écris ^^ Cette histoire je n'y est écris qu'un chapitre par manque de temps et d'inspiration mais j'ai un autre blog celui de mon personnage justement ici:

comtecerewin. over-blog. com/pages/qui-est-ce-mysterieux-comte-3954677.html

Retire les espaces après les points.

FAËLLL !!!! Tu as osé mettre un lien sur MON forum ??? Et sans me demander la permission ??? Non mais ! Je te vire pour le restant de tes jours !!!!

...

PTDR, Non, je déconne ! T'es un VIP toi :p t'as tout les droits (enfin, presque)

Je n'est pas encore le droit de poster des liens ils faut que j'attende une semaine, le fofo me bloque les messages avec des liens c'est pour sa ^^.

Merci pour la mention VIP je suis curieux de savoir en quel honneur ai-je cette mention?

Par ailleurs, je vous averti certain de mes textes sont un peu chauds soyez prudent...

VIP, parce que :
1 - t'es majeur (bah oui, t'es le seul)
2- T'es intelligent (plus que l'admin, arg, ça me fend le coeur xD)
3- Tu nous fait lire tes textes en avant 1ère
4- on est en "partenaria" niveau sites/fow

Par chaud, tu entend quoi ? Sex ou trash ?

Pas sex ni trash mais plutôt un peu érotique. Un poète n'emploi jamais de mots vulgaires dans ses textes mes souvent le poète utilise des mots profond pour décrire des actes sexuel on appel sa de l'érotisme ^^ mais bon sa reste relativement doux.

C'est super! Tu es très douer pour l'écriture! Enfin je dis ça mais je ne mis connait pas beaucoup! Mais j'ai pris du plaisir a le lire, as-tu fais la suite?

... Lorsqu’il me donna naissance, la première chose qui me dicta était les règles à suivre.
Ses propres règles que nul autre vampires ne pratiqués, trois règles d’or.
Aussi plutôt qu’un long discours je préfère vous les énumérer.
1- Tu ne feras de mal à nul homme de bien.
2- Tu ne t’abreuveras que de victime consentante
3- Tu ne seras pas victime de tes actes, mais tu en seras seul maître.
Sachez que ses règles sont extrêmement difficiles à appliquer pour un jeune vampire. En particulier la troisième règle.

Pendants les dix premières années de mon existence, je n’avais guère le droit de sortir du domaine.
Il me fallait respecter des horaires de repas, une discipline strict, si j’avais le malheur de refuser un ordre de mon père, celui-ci m’enfermai dans une pièce sombre, jusqu’au levé du soleil et parfois il m’y laissé la journée entière. Cette pièce ronde était fermée mais il y avait en son centre une toute petite cheminée de quelques centimètres de diamètre qui laissé échapper un filet de lumière, si j’avais le malheur de me trouver en dessous de se filet, ma peau était percé par le rayon et cela me brûlé.

Ainsi étaient ses régles, ainsi était son éducation. Pourtant, aussi strict soit-elle je n’ai jamais cessé d’éprouver une immense gratitude et un respect ultime pour mon père.

Un soir, un homme affaibli avait frappé à la porte du château, celui-ci était vieux et à bout de souffle, il disait être poursuivi par des êtres maléfiques qui avaient tué son fils et pendu sa femme. J’étais jeune, la soif était puissante je me suis mis immédiatement en position d’attaque, mon père à surgit de nulle pars et à fondu sur moi avant que je n’ai pu faire un geste. Il m’a propulsé contre un mur de l’entrée, et s’était retourné sur moi, et m’a jeté un regard empreins de tellement de haine que j’ai cru qu’il me tuerait, il me gronda d’une force terrible.
- La première règle ! souvient-toi de la première règle !
Il hurlait si fort que je ne sais si le vieil homme n’était pas parti effrayé.
Pourtant l’homme, subjugué par cette violente action de mon père n’avait pas bougé, sans doute était-il pétrifié de peur.
- Venez vieil homme, suivez-moi dans la salle à mangé, je vous offre le gîte et le couvert pour cette nuit.
- Ô merci ! et votre fils ?
- Ne vous en inquiétez pas, il va bien. Faêl ! va dans chambre !
- Oui père.
Je m’étais résigné a son ordre, il avait était violent mais je l’avais mérité, j’étais sur le point d’enfreindre la première régle d’or. « Tu ne feras de mal a nul homme de bien. »


Voilà c'est tout ce dont j'ai écris jusqu'à présent du moins pour cette histoire là.

Faël Céréwïn.

C'est super bien! est-ce que tu as un site ou est ce que tu pourrais mettre tes nouveaux chapitres ici?

Malheureusement, comme je l'ai précisé dans mon précédent message, je n'est pas encore crée la suite de cette histoire.
Mais dès que je reprendrai cette histoire je vous en informerez.

Merci! Prend ton temps pour écrire un autre bon chapitre!

voici la suite, je viens juste de la términer.

Intimités du Comte, Acte II

- Comment à tu oser tanter de rompre le serment ?! Je n’ai point d’autre solution que de te conduire à la cave !
La cave ! Ce mot me fit froid dans le dos, quand mon père parlait de la cave, il faisait allusion a cette pièce, celle avec un petit trou laissant passé un filet de lumière.
- Mon fils, sache que si je te condamne à la cave cela est pour ton bien, et tu le comprendras le moment voulu.
Il m’attrapa par le bras, me tira jusqu’as la cave ou il m’y enferma sur le champ.
Je regarder cette lueur, pour l’instant il n’y avait que la lune, mais très bientôt le jour se lèverai, et très bientôt mon supplice commencerai.
Alors je regretté, mes actes incontrôlé, je n’en voulais nullement a mon père, bien au contraire, il était mon modèle, il était la droiture incarné, cela semble étrange pour un vampire mais combien il était respectable.

Quatre jours, c’est le temps que j’avais passé dans la cave, quatre jours que j’avais mis à profit pour réfléchir, j’avais soif, terriblement soif. J’entendis le verrou s’ouvrir, mon père apparu dans la sombre lueur de la lune, il me déposa une caisse, l’ouvrit et je découvris avec soulagement, que cette dernière était remplis de poche de sang.
Sans un seul mot j’attrapai la première poches et l’avala d’un trais, puis la seconde et la troisième, quel bonheur pour un vampire de se nourrir de sang.
- J’espère que tu ne m’en veux pas mon fils, et que tu comprends mon geste ?
- Oui père, vous êtes pour moi un modèle que je veux suivre, je ne vous en veux nullement car cette punition je l’ai mérité, aussi veuillez me pardonner père.
- Tu es déjà pardonné mon fils, je suis passé par là moi aussi, et crois-moi nulle autre personne ne puis mieux te comprendre, récite moi les règles mon fils.
- Je ne ferais de mal a nulle homme de bien, je m’abreuverai que de victimes consentante, je ne serais pas victime de mes actes mais seul maitre.
- C’est bien mon fils, je suis fière de toi.
Vous autres, chère lecteur, je suis persuadé que vous ne comprendriez jamais ce que je suis, ce que ma famille représentais pour moi, ses règles ont une valeur que nulle autre vampire ne comprendrait, mais moi je les respectés, et si par malheur mon instinct prenez le pas sur ma conscience, il était du devoir de mon père de m’en punir.

Le lendemain, je parti avec mon père au village, les habitants nous accueilliez tel de grand rois, nous étions respecté et aimé de nos villageois.
Cela peut vous paraitre étrange, nous ne régnions pas par la force ou par le mépris, mais par la noblesse de nos actes, ses pauvres paysans sans nous n’aurais jamais pu vivre une si belle vie, pleine de joie, pleine de gratitude. Pourtant aussi troublant soit-il une femme attira mon regard, une jeune fille au regard triste, je m’approchai de cette demoiselle celle-ci me regarda droit dans les yeux et dans une voix timide elle m’annonça la mort de sa pauvre mère. La pauvre dame étais morte d’une pneumonie.

Soudains je me rappelai, cette dame, la mère de cette enfant était venu il y a quelques temps de cela, afin de demander a mon père de la transformé, mais celui-ci avais refusé, il refusé de transformé une humaine en monstre.

Les remèdes des docteurs n’avait pu rien faire, la pauvre dame s’en était allée il y a de cela quelques jours.
Alors doucement je lui demandai quel étais son nom, celle-ci me répondu Maëllya.
Se prénom résonna dans ma tête, Maëllya, jamais de ma vie je n’avais entendu si belle mélodie.
- Quel âge a tu jeune Maëllya ?
- J’ai vingt ans, mon maitre.
- Allons relève toi Maëllya, je ne suis pas un maitre, je suis une sombre créature de la nuit, je n’ai rien d’un maitre crois-moi.
-
La jeune fille me toisai et je perçu une douce lueur au fond de ses yeux, une lueur qui provoqua en moi un sentiment effroyable, celui de l’ignorance, mais surtout celui de l’amour.
Comment un monstre pouvait encore éprouvé de l’amour. Je me refusai de l’accepter, je rejoignis mon père à quelques pas derrière moi, celui-ci venez de charger un coffre, oui un coffre semblable a celui que mon père m’avait apporté dans la cellule.
Il ne tarda pas à monter dans la voiture tirer par de sombres chevaux, et nous partîmes immédiatement après.
A quelques mètres derrière moi, je vis le village s’éloigné, je hasardai un ultime regard sur la jeune fille, celle-ci me répondu d’une moue timide, un sourire assombris par de triste pensées, alors je compris, cette jeune fille n’avait plus rien à perdre, alors un frisson parcourra mon échine, cette jeune fille était désespéré au point d’attenter a ses jours…


© Faël Céréwïn.